L'école ne mesure pas ta vraie valeur.
À 17 ans, j'étais le cliché du mec "sans avenir".
Mauvaises notes. 4 au bac blanc. Même pas admis au rattrapage.
Et quand j’ai eu mon bac par miracle, ma prof d'SVT m’a regardé droit dans les yeux et m’a lâché :
"Louis, tu as volé le bac."
À ce moment-là, j'aurais pu la croire.
Me dire que j’étais vraiment bon à rien.
Accepter ma place tout en bas de l’échelle.
Mais laisse-moi te dire une chose : l’école ne mesure pas ta vraie valeur.
Elle mesure juste ta capacité à rentrer dans une case.
À suivre des règles.
À répéter des choses qui ne t’intéressent pas.
Si aujourd’hui tu te sens nul parce que tu n’es pas "bon à l’école" ou "pas adapté", sache que c’est la vie qu’il faut apprendre à hacker, pas un tableau noir.
Tu vis dans une illusion confortable.
À cette époque, j’avais trouvé mon refuge.
Je passais mes nuits à jouer à League of Legends.
À fuir la réalité.
À vivre des aventures épiques... derrière un écran.
Et en journée, je lisais des mangas en cours, en regardant les aiguilles de l’horloge tourner lentement, comme une punition.
Pendant ce temps, je voyais sur les réseaux sociaux des gars de mon âge réussir, vivre la vie que je rêvais secrètement d’avoir.
Et tu sais ce que je ressentais ?
Pas de la haine.
Pas de la jalousie.
De la honte.
La honte de savoir que j’étais capable de mieux... mais que je ne faisais rien pour changer.
Chaque confort que tu acceptes aujourd'hui est un prix que tu paieras demain.
Le premier déclic qui a changé ma vie.
Je me souviens très bien de ce soir-là.
Je suis tombé sur une vidéo d’un jeune entrepreneur sur YouTube.
Un gars ordinaire.
Pas une star. Pas un génie.
Juste quelqu’un qui avait osé sortir du rang.
Il racontait comment il avait tout changé en refusant de suivre la route tracée pour lui.
Je me suis reconnu.
Sauf que lui, il avait agi.
À cet instant, j'ai compris un truc fondamental :
Personne ne viendra me sauver.
Pas mes parents.
Pas l’État.
Pas mes amis.
Si je voulais changer ma vie, il fallait que ce soit moi. Et seulement moi.
Personne ne peut te sauver... Sauf toi.
Mon premier projet, ça n’a pas été de monter un business.
Ça a été de reprendre le contrôle sur moi-même.
- Arrêter de me gaver de malbouffe.
- Me remettre au sport, transpirer, lutter.
- Me réconcilier avec mon corps, avec mon reflet dans le miroir.
Chaque kilo perdu, c'était un bout de l'ancien Louis que j'enterré.
Et petit à petit, à force de discipline, de petites victoires invisibles, j'ai commencé à croire en moi.
La transformation commence toujours par ce que tu acceptes de changer dans ton quotidien.
Ce que tu vas découvrir ici... C'est ce qui m'a permis de changer ma vie.
Un jour, tout a changé.
Pas en un claquement de doigts.
Mais une opportunité, un client, une réussite timide...
Puis une deuxième, puis une troisième.
J’ai monté Agencilab, puis YouTupreneur, puis Balistique.
Aujourd’hui, à 24 ans, je dirige 4 entreprises.
Je n’ai pas tout réussi. Je fais encore des erreurs.
Mais je me suis prouvé une chose :
Je peux créer ma propre route.
Et toi aussi.
Peu importe ton point de départ. Ce qui compte, c’est ta capacité à tenir quand tout le monde abandonne.
Retiens bien une chose :
Si t’as l’impression d’être paumé, bloqué, en retard sur ta vie...
Si t'as l’impression que t'es destiné à quelque chose de plus grand, mais que tu sais pas comment y arriver...
Je suis la preuve vivante que c'est possible.
Pas parce que j’ai eu un coup de chance.
Pas parce que je suis "plus intelligent".
Mais parce que j’ai arrêté d'attendre qu'on vienne me donner la permission de vivre.
Si tu veux reprendre ta vie en main :
- Apprivoise ton corps.
- Discipline ton esprit.
- Travaille sans attendre d'être "prêt".
Ce sera dur.
Tu tomberas.
On te rira au nez.
Tu seras seul parfois.
Mais un jour, tu regarderas en arrière et tu seras fier d’avoir choisi d’avancer quand tout te tirait vers le bas.
Et ce jour-là, tu sauras que ta vraie vie a commencé.
